le Grand Raid des Pyrénées en Rando - regard sur PIERREFITTE-NESTALAS


PIERREFITTE-NESTALAS : ses origines





vue générale de Pierrefitte depuis la voie Verte Pierrefitte-Cauterets

Située dans la vallées des gaves, à quelques kilomètres au sud de Lourdes avec laquelle elle est reliée par une voie rapide, voisine d'Argelès-Gazost, Pierrefitte-Nestalas à 480 m est gardienne des vallées vers LUZ et GAVARNIE, et de CAUTERETS .
Idéalement placée , elle est le carrefour inévitable à tous ceux qui veulent pénétrer plus profondément dans le massif Pyrénéen du Lavedan .
Pierrefitte-Nestalas à 480 m d'altitude dans les Hautes-Pyrénées est une petite ville très bien équipée en hébergements avec ses hôtels et gîtes, animée avec son marché et ses festivités en toutes saisons... Ses professionnels du Tourisme et des Loisirs sont là pour bien vous accueillir.
Origine de sa dénomination
Elle est composée de la justaposition de 2 noms, PIERREFITTE et NESTALAS.


Origine du nom «NESTALAS»

NESTALAS rappelle le mot NESTES, nom qui est donné aux torrents pyrénéens et qui leur est resté jusqu'au XVème siècle . Ce nom est d'ailleurs très présent en vallée d'Aure et en bas-Comminges .Le nom de gave ( gave de PAU, gave de GAVARNIE ), vient du Béarn et apparaîtra plus tard, marquant l'influence de celui-ci).
C'est donc tout naturellement que le noyau de population situé au confluent des Nestes de Luz et de Cauterets prend le nom de «NESTALAS».

C'est également une des cinq chapelles rattachées à la «Villa Bencus» (actuellement Saint-Savin) où demeurait, à l'époque galloromaine, au IVe siècle, un riche personnage, Aemelius, précepteur du fils de l'empereur Constantin.

Le culte de l'ermite Savinus au VIIIème siècle donna naissance à l’abbaye de Saint-Savin, dotée en 945 de la vallée de Cauterets.

Les communautés de la Ribéra : Bencus, Adast, Uz, Lau-Balagnas, Soulom et Nestalas exploitaient en commun les pâturages et les bains de Cauterets et disposaient de droits de pêche, de chasse et de coupe de bois.


Origine du nom "PIERREFITTE"
"Peyra-Hita" signifie : pierre borne qui limitait les communes, ici la commune de Nestalas et celle de Soulom.
C'est de cet endroit que partait le chemin muletier conduisant à la communauté de Cauterets et ses bains.
Vers 1400, quelques maisons se bâtirent (guides, porteurs, chevaux). Ainsi prit naissance le hameau de "Peyra-Hita". Ce nom est également utilisée dans d'autres endroits de la Bigorre, par exemple à Sainte-Marie-de-Campan où nous retrouvons «le chemin de Peyrehitte».

L'ancien village de NESTALAS, change de dénomination en 1901 en raison de la croissance du faubourg de PIERREFITTE sur la route d'un CAUTERETS en pleine expansion. La petite ville se nomme désormais PIERREFITTE-NESTALAS.

(Texte extrait de l'étude "Nestalas autrefois, Pierrefitte-Nestalas aujourd'hui", réalisée par M. René Pujo, maire de Pierrefitte-Nestalas de 1977 à 1988.)

Quelques données complémentaires :
La commune a 1 300 hab.,une superficie de 176 ha . Elle fait partie des Hautes-Pyrénées dans le canton d'Argelès-Gazost, et est située à 5 km SSE du chef-lieu, dans la plaine de confluence du gave de Pau et du gave de Cauterets.

Pierrefitte-Nestalas à la confluence des vallées de Cauterets et de Luz (vue Google-Earth)


PIERREFITTE-NESTALAS et l'industrie





Le transport de l'électricité se faisant avec de grandes pertes, c'est tout naturellement, que se développèrent, dans les Pyrénées et dans les Alpes, des usines consommatrices d'électricité, à proximité des sources d'approvisionnement.

Et c'est ainsi, dans cette Vallée des Gaves, le plus près possible des ressources hydroélectriques, que s'est établie en 1917 la première usine électrochimique, d'abord fabrique d'explosifs de guerre et point de départ d'une agglomération industrielle à laquelle participent les communes voisines de Soulom et Villelongue.

En fait, de longue date, on extrayait des minerais des flancs du Cabaliros , et il existait déjà à PIERREFITTE une usine de traitement du minerai de plomb, qui provenait du gisement dit de la Vieille Mine, connu des Romains , extrait vers 1 200 m au SO (actuellement dans l'angle NO de la commune de Cauterets). Elle fut réexploitée à partir de 1856, vendue à l'Asturienne puis aux Britanniques; la mine fut équipée d'un téléphérique de 6 600 m en 1907 , passée à Penarroya en 1918, et ensuite abandonnée en 1969.

Restaient dans l'agglomération il y a quelques temps une usine de ferro-alliages du groupe Alcan (ex-Pechiney, 60 sal., spécialité d'inoculants, qui sont des alliages à base de ferro-silicium utilisés pour affiner la structure de la fonte), une petite fabrique chimique du groupe Atofina (Ceca, 25 sal., acide phosphorique et hypophosphite de sodium); plus des entreprises moins anciennes comme Mitjavila qui fait des profilés d'aluminium pour stores et du traitement de surfaces (100 sal.) et des toiles pour stores (50 sal.); travaux publics Soares (40 sal.).
Cette zone industrielle est en pleine reconversion, en permanente réadaptation, suite aux restructurations des grands groupes , et à la concurrence étrangère.

On retrouvera sur le site de la mairie, dans l'onglet « nos entreprises --- zone industrielle » la liste actuelle des entreprises qui occupent cette zone.

Il va de soi, que la population de PIERREFITTE-NESTALAS, a fortement varié , avec la fluctuation des offres d'emplois proposées dans le cadre de cette activité industrielle : 1 200 hab. en 1911, 2 200 en 1962, un net recul depuis.
Les mines de Pierrefitte-Nestalas .
Une ou deux galeries existaient au niveau 1154, la première servait à l'extraction du minerai, la seconde aurait été une galerie de reconnaissance du gisement poursuivie sur quelques dizaines de m.
En amont étaient étagées plusieurs galeries débouchant au jour. Il existe quelques CPA datant de l'époque de l'exploitation par les anglais. On y voit la construction de la première laverie et du plan incliné la reliant à la route de Cauterets.
Aux archives départementales rien d'intéressant et surtout pas de plan. Il faut reconstituer en fonction des vestiges !
On cite souvent , parmi le patrimoine industriel menacé et méconnu , le secteur des transporteurs par câbles aériens du XIXe siècle.
Il faut sans doute rappeler que dans le cadre pyrénéen, la réalisation du bicâble des mines de Pierrefitte, qui gravit 850 m de dénivelée avant d’en descendre 1 100 m, franchit des portées libres de plus de 600 m, avec un parcours de 6 600 m et un débit de 200 t/jour, constitua une prouesse technique et humaine en 1907.

toujours sur Google-Earth, Pierrefitte-Nestalas au pied du Cabaliros


PIERREFITTE-NESTALAS carrefour de communication





Pendant longtemps, PIERREFITTE-NESTALAS, au démarrage des vallées de Gavarnie et de Cauterets, est resté le terminus des routes et moyens de communication à destination de ces vallées.

Citons l'introduction du site "le Tramway Pierrefitte-LUZ" assez significative sur le sujet : (ce sont des LUZIENS qui parlent)

L'accès à notre vallée et notamment aux bains de Barèges, se fit longtemps par Bagnères et Campan via le Col du Tourmalet mais il existait aussi un petit sentier par les gorges de Pierrefitte. Vauban, envoyé sur les lieux par Louis XIV à l'occasion de l'arrivée de Monseigneur le Duc de Maine et Madame de Maintenon, trouva les escarpements de ce sentier trop difficiles et les aménagements très coûteux.

Il fallut attendre 1733 pour que des travaux améliorent ce sentier (le chemin devait avoir une largeur de 3 toises, chacune de 6 pieds d'environ 0,32 chacun soit au total 5,80 m environ). La première voiture attelée arriva par ce sentier en 1744. Cette route si redoutée et repoussée par les valléens, devint petit à petit la principale voie de communication et d'échange avec la plaine.

En 1858, on commença la rectification du tracé entre les ponts de "la Escala" et "d'Enfer" en taillant la route dans la partie rocheuse de la rive droite. Les travaux durèrent 5 ans et ainsi, depuis le Pont de Soulom jusqu'au Pont de la Reine, on resta uniquement sur cette rive.

Vers la fin du 19e siècle (9 juin 1895) il fut décidé de prolonger la ligne ferroviaire Lourdes-Pierrefitte (1871) pour accéder à Luz mais aussi à Cauterets. Le choix d'un tramway s'imposa face aux difficultés géographiques.

Les deux lignes furent déclarées d'utilité publique le 24 juillet 1895 et la Compagnie des Chemins de Fer à Traction Électrique de Pierrefitte-Cauterets-Luz, dite PCL était constituée le 31 Août 1895.

Les travaux commencèrent et la ligne fut inaugurée le 1er février 1901 Le tramway resta en service jusqu'en 1932.

La voie fut installée sur toute sa longueur sur la Route Nationale 21 (sauf pour le tunnel).
Elle franchissait le gave de Cauterets à Soulom, puis à Villelongue le gave de Luz.
La voie longeait le gave rive droite. Ensuite elle pénétrait sous un tunnel de 390 mètres de long à l'endroit où la gorge est la plus étroite. Suivant toujours la route nationale, elle remontait la vallée du gave jusqu'au pont de la Reine Hortense au kilomètre 9 qu'elle franchissait puis retraversait au pont de Pescadère, juste après Saligos et arrivait, en suivant la route bordée de magnifiques peupliers italiens, en gare de Luz, sur la commune d'Esquièze à 711 mètres d'altitude pour un trajet de 12 kilomètres environ parcourus en 50 minutes.




LES ANCIENS ACCES

Historiquement, la vallée de Barège a toujours été considérée comme un peu à part. On disait qu'elle était la première république indépendante.

De plus, ces montagnards assez fiers n'acceptaient pas (ou si peu) des lois. Il était d'ailleurs difficile de leur imposer vu la difficulté de pénétrer sur leur territoire et de les contraindre. Il n'était possible d'y parvenir que par l'Espagne et le col de Boucharo, Bagnères de Bigorre et le col du Tourmalet et Soulom par un sentier que Vauban lui-même estimait «difficile» pour y faire passer Madame de Maintenon et le Duc du Maine qui devaient «aller prendre les eaux» à Barèges en 1675. On dit même qu'il trouva «les escarpements de ce sentier trop difficiles et les aménagements très coûteux». Il préféra les faire passer par le col du Tourmalet malgré son altitude.

Il faut dire qu'à cette époque le chemin ne suivait pas le fond de la gorge. Pas fous, les anciens préféraient passer au-dessus. Pour cela, deux itinéraires existaient.
- L'un depuis Soulom montait sur le versant des gorges de Cauterets pour basculer le versant Luz sous le Viscos et rejoignait le col de Riou.
- L'autre, pas beaucoup plus pratique, passait sur l'autre versant (rive droite) par un itinéraire pratiquement impossible à retrouver, afin d'atteindre Chéze par les mines.

Malgré ces difficultés d'accès, la vallée n'est pas pour autant sauvage. Elle reçoit des visiteurs, qu'ils soient des dignitaires de l'ancien régime ou des curistes notamment des militaires blessés qui parvenaient à Barèges dans des conditions assez effroyables.

LA CONSTRUCTION DES ROUTES

Une route devenait donc indispensable. Pour cela, il fallait passer par le fond des gorges.
Les travaux débutèrent en 1732 pour arriver à Luz en 1736 et à Barèges seulement en 1745. Ce n'est qu'en 1744 que la première voiture attelée arriva à Luz par ce qui fut appelé la route nationale n° 21 de Paris à Barèges.

La construction fut dirigée par l'ingénieur Polard sous les ordres de Monsieur de la Baune puis du Comte d'Etigny, tous deux intendants de la province. C'est grâce à ces travaux d'envergure pour l'époque qu'en 1746, Barèges dispose d'un hôpital militaire qui permit par la suite d'accueillir les blessés de la Guerre de Sept ans (1756-1763). La «route», en fait une piste, était aux normes de l'époque, à savoir une largeur de 3 toises, chacune de 6 pieds d'environ 0,32 cm soit au total environ 5,80 m.

Au début, la route fut construite sur la rive gauche entre les ponts de «l'Escala» et « d'Enfer» dont on peut encore voir les ruines. L'itinéraire était redouté par les usagers y compris ceux de la vallée pourtant habitués aux escarpements de l'ancien chemin.
Mais peu à peu, la solution de facilité l'emporta sur le danger.

Dans cette gorge, le danger est partout et depuis toujours. Les inondations emportaient régulièrement les ponts et les digues et les séismes modifiaient régulièrement l'aspect de la vallée par des éboulements et parfois des lacs comme à Héas (le barrage naturel céda à la suite d'une débâcle de printemps)

Le plus remarquable de ces séismes fut celui du 21 juin 1660 qui a occasionné d'importants dégâts, une douzaine de victimes et des changements naturels en montagne tel que chaos et nouveaux lacs naturels.

Pour tenter de remédier à ces risques, en 1858 des travaux débutèrent pour rectifier la route entre les ponts de «l'Escala» (L'échelle) et « d'Enfer». Il fallut tailler dans la falaise de la rive droite.
Cinq ans ont été nécessaires pour que la route soit intégralement sur la rive droite du Pont de Soulom au Pont de la Reine Hortense.

L'ARRIVEE DU CHEMIN DE FER

Le chemin de fer arrive à Pierrefitte en 1871. Le 9 juin 1895 fut prise la décision de prolonger la ligne vers Cauterets et Luz par un tramway (PCL) à voie unique qui, pour Luz, utilisait en grande partie la route. Cette ligne fut inaugurée le 1er février 1901et le tramway resta en service jusqu'en 1932. Au niveau du plus étroit de la gorge où la route fut taillée dans la falaise, un tunnel a été creusé pour faire passer le Tram. Ce tunnel est toujours visible et servait encore dans les années 1980 à dévier la circulation lorsque des éboulements ou des accidents avaient lieu.

UNE ROUTE A RISQUES SOUS SURVEILLANCE

Compte tenu des dangers permanents d'éboulements de rochers sans doute consécutifs aux très nombreux petits séismes de la région, deux paravalanches ont été construits en 1954 et 1956. Ce sont les deux seules grandes réalisations de protection que l'Etat a réalisé sur cette route nationale. Sinon, rien n'a été fondamentalement modifié depuis 1863.
Quelques références que nous avons utilisé pour faire notre compilation sur ce thème

le site le tramway Pierrefitte-LUZ ( par les élèves de l'école de LUZ)
article «la route des gorges de LUZ » sur le site www.pyrenees-pireneus.com



PIERREFITTE-NESTALAS - Cyclisme et VTT



les pistes cyclables

 

le plan de la voie verte extrait du dépliant SMDRA sur la voie verte des gaves www.valledesgaves.com


La reconversion des anciennes voies de chemin de fer entre Lourdes et Pierrefitte , puis entre Pierrefitte et Cauterets en pistes cyclables, en Voies Vertes est une très bonne idée, qui dote cette vallée de 2 magnifiques itinéraires tranquilles et panoramiques.

Ces circuits sont répertoriés et balisés.

On trouvera carte et description sur le dépliant SMDRA.

La voie Verte Lourdes-Pierrefitte fait 17 kms.
Dénivelé maxi 26 m - altitude minimale 440 m. 11 ponts dont un pont métallique de 1884 de 56 m- n°1 LE GRAND TOUR DE LA VALLEE 50,5km/+1350m

La voie Verte Pierrefitte-Cauterets fait 9,5 kms à laquelle il faut rajouter 920 m pour la traversée de pierrefitte-nestalas. Altitude minimale : 465 m maximale : 950 m 1 pont (passerelle Mayabat) 1 tunnel 210 m éclairé

Attention : ces 2 voies sont accessibles aux piétons - cyclistes - rollers avec priorité piéton.



et le VTT ??


ou bien ici
La ville de PIERREFITTE-NESTALAS est concernée par les circuits de VTT de la Vallée des Gaves

Certains circuits sont répertoriés et balisés.

On trouvera carte et description sur la Fiche Espace VTT - FFC n°26 Vallées des Gaves dont un lien a été monté avec l'extrait de carte ci-contre.(cliquez sur la carte).

Passant par PIERREFITTE-NESTALAS, 2 circuits vous sont proposés
- n°1 LE GRAND TOUR DE LA VALLEE 50,5km/+1350m
- n°9 LE TOUR DU GAVE SUD 15,5 km / +160m
départ Piscine (Lau-Balagnas)


Les adeptes de l'improvisation et des sensations nouvelles, pourront élaborer, ou rechercher sur les sites de leurs clubs favoris sur internet , d'autres circuits . La plupart des cols de montagne des environs, et même les flancs du Cabaliros en remontant route et piste qui mènent au Col du Tuc de Béné par exemple. NB : sur le web, vous pourrez trouver la boucle du cabaliros par poueyaspe ainsi que la traversée du Cabaliros .



le CYCLISME

 

Lors de l'edition 2008 de la ROUTE du GRAND SUD , PIERREFITTE-NESTALAS fut une ville étape maitresse en Pyrénées.

Point de départ de l'étape contre la montre
PIERREFITTE-CAMPBASQUE
et de l'étape Pyrénéenne
PIERREFITTE - LUCHON
PIERREFITTE-NESTALAS , de part sa situation géographique, est passage obligé vers les grands cols pyrénéens, et en particulier le TOURMALET, ou lors des étapes qui empruntent ce grand col.

C'est aussi le pied de l'ascension vers le CAMPBASQUE ou le PONT d'ESPAGNE.

Le Tour de France y est passé plusieurs fois, et la grande épreuve régionale La ROUTE DU GRAND SUD l'a choisi comme ville étape lors de l'édition 2008.

Ne soyez donc pas surpris, si régulièrement, vous voyez amateurs ou semi-pros s'y arrêter ou en faire une base de séjour.


la RANDONNEE

 

PIERREFITTE-NESTALAS petite ville montagnarde est une base excellente pour faire des randonnées en montagne .

Randonnées au départ de PIERREFITTE-NESTALAS ou randonnées nécessitant une approche en voiture, quelques idées
Au départ de Pierrefitte-NESTALAS:

- la visite de Saint-SAVIN
- la chapelle de POUEY-ASPE
- la voie verte PIERREFITTE-CAUTERETS (AR) ou Aller seul retour en bus
- le Tuc de BENE
- le CABALIROS
- les randonnées du secteur de Villelongue (ORTIAC - Abbaye de St ORENS ..)

Moyennant une approche en voiture:

- le secteur d'Hautacam
- Cauterets , pont d'Espagne, Marcadau, refuge Wallon
- le secteur du val d'AZUNS ( lac d'Estaing , barrage du Tech ..)
- la vallée de LUZ , de BAREGES et de GAVARNIE
- la haute Montagne du Lavedan

 

 

 

Abbatiale Saint-Savin Chapelle Pouey-Aspe


PIERREFITTE-NESTALAS Autres activités



Parmi les diverses activités que peut proposer la commune, citons

- l'Aquarium tropical du Haut-Lavedan - Marinarium
500 espèces de poissons d’eau de mer, d’eau douce, des grands lacs africains et fleuves amazoniens dans plus de 60 aquariums de 1 000 litres à 12 000 litres. Requins, barracudas, poissons anges, tortues

- Piscine au Complexe sportif intercommunal du Sailhet

- visite guidée de Pierrefitte-Nestalas ou de Soulom


Pierrefitte-Nestalas, le centre ville


le Grand Raid des Pyrénées en Rando